sexta-feira, 6 de janeiro de 2012

Insustentável leveza

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André Kertesz. Chez Mondrian. Fotografia. 1926




On peut écrire, et l’on écrit;
On peut se taire, et l’on se tait.
Mais pour savoir que le silence
Est la grande et unique clef,
Il faut percer tous les symboles,
Dévorer les images,
Écouter pour ne pas entendre,
Subir jusqu’à la mort
Comme un écrasement
Le poids vivant de la parole.



[Armel Guerne (1911-1980),
Le poids vivant de la parole]

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